Quand les paysages deviennent formes et matières, s’alliant et se séparant dans un continuum sans fin.
Continuum, quelle réalité d’espace ininterrompu ?
Celui-ci se délie quand on y dessine une ou plusieurs fenêtres. Mais sous-jacent à l’image, sa continuité se révèle par apparition d’images tout en procédant à sa transformation interne. Les paysages par fragmentations recomposées devenus matière et forme s’alternent et s’altèrent dans une indécision cyclique. Stabilité et instabilité, arrêt et mouvement, réalité et abstraction. Les apparitions y sont rêvées, fantasmées, ai-je vu de la couleur ? L’image devient une poésie du temps et de l’espace ; une fragilité de l’instant dans l’impermanence du monde.
Me contacter afin d’obtenir le mdp pour une visualisation de la vidéo.